Drame à la clinique : Mort d'un collaborateur

Publié le par Serval

Ce qui m’a toujours sidéré chez Papon, c’est sa morgue (en même temps il y est désormais), et son aplomb face aux ignominies dont il s’est rendu complice et coupable (que ce soit en 1940 ou en 1961), ainsi que les complicités qui l’on amené à s’enfuir durant sa détention et à s’évader en profitant d’une loi à laquelle il n’aurait jamais du pouvoir prétendre à l’époque. A ne pas assumer autre chose que sa lacheté face à ses actes.

 

Inutile d’en dire plus. Le reste appartient désormais à l’histoire

 

Il est mort sans remords, ni regrets.

 

Ni fleurs ni couronnes et encore moins de rosette pour lui. Juste… Bon débarras.

 

Sans remords, ni regrets non plus

Publié dans Toutes griffes dehors

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S
Je trouve cela aberrant cette demande de son avocat. Et parfaitement degueulasse pour les victimes de proposer cela.
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B
Aux dernieres nouvelles, son avocat veut qu'il soit enterré avec la légion d'honneur, qui lui a été retirée...
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B
Ami entends-tu Le vol noir des corbeaux Sur nos plaines. Ami entends-tu Les cris sourds du pays Qu'on enchaîne, Ohé partisans Ouvriers et paysans C'est l'alarme! Ce soir l'ennemi Connaîtra le prix du sang Et des larmes… Montez de la mine, Descendez des collines, Camarades. Sortez de la paille Les fusils, la mitraille, Les grenades. Ohé! les tueurs A la balle et au couteau Tuez vite! Ohé! saboteurs Attention à ton fardeau… Dynamite… C'est nous qui brisons Les barreaux des prisons Pour nos frères. La haine à nos trousses Et la faim qui nous pousse, La misère. Il y a des pays Où les gens au creux des lits Font des rêves. Ici, nous vois-tu Nous on marche et nous on tue Nous on crève… Ici, chacun sait Ce qu'il veut, ce qu'il fait Quand il passe Ami, si tu tombes, Un ami sort de l'ombre A ta place. Demain du sang noir Séchera au grand soleil Sur les routes. Chantez compagnons, Dans la nuit, la liberté Nous écoute… Ami, entends-tu Les cris sourds du pays qu'on Enchaîne!… Ami, entends-tu Le vol noir des corbeaux sur nos Plaines !
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