Drame à la clinique : Mort d'un collaborateur
Ce qui m’a toujours sidéré chez Papon, c’est sa morgue (en même temps il y est désormais), et son aplomb face aux ignominies dont il s’est rendu complice et coupable (que ce soit en 1940 ou en 1961), ainsi que les complicités qui l’on amené à s’enfuir durant sa détention et à s’évader en profitant d’une loi à laquelle il n’aurait jamais du pouvoir prétendre à l’époque. A ne pas assumer autre chose que sa lacheté face à ses actes.
Inutile d’en dire plus. Le reste appartient désormais à l’histoire
Il est mort sans remords, ni regrets.
Ni fleurs ni couronnes et encore moins de rosette pour lui. Juste… Bon débarras.
Sans remords, ni regrets non plus