Le nez dans le ruisseau, mais c'est pas la faute à Hulot

Publié le par Serval

Eh oui ! Les Verts. Pas de quoi en faire un billet. Un simple spot suffira tant il y a peu à dire. Empêtrés dans leurs travers, affublés d’une candidate aussi charismatique qu’une assiette de brocolis. Et surtout reportant leur frustration sur Nicolas Hulot (même si son pacte à viré à l'utopie) mais coupable à leurs yeux d’avoir parlé d’écologie…un comble.

 

Ce dimanche, sur la page d’accueil du site des Verts, trois communiqués dont le plus récent à 10 jours (et dont deux ne parlent pas d’écologie), se battent en duel. Quant à leurs positions répertoriées par ordre, l’environnement et la pollution passent après la culture et la communication…


Comment peut on être crédible et proposer une alternative écologique dans ce cas là ?

 

Publié dans Spot

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B
 L'écologie, comme toutes les utopies sociales, est une religion. Une religion sans dieu, mais une religion n'a pas forcément besoin d'un dieu. La foi suffit. Et aussi le dogme.<br /> F. Cavanna (in "La belle fille sur le tas d'ordures")
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S
Ce qui me surprend c'est qu'on a l'impression que les Verts découvrent l'écologie.A force de se disperser dans divers courants, ils ont gommé leur sensibilté première. Je fais, pour terminer,  un emprunt aux Guignols qui ont rebaptisé le parti : Ecologie et consternation
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B
Je vais te surprendre (si, si) mais j'aime bien Dominique Voynet. C'est une femme de convictions. Alors, bien entendu, les Verts forment un parti "singulier" (quand on veut rester poli), bien entendu, elle ne fera pas le score de Mamere, mais je crois qu'il ne faut pas trop taper sur elle. Son acces aux médias est plus que difficile, au surplus.
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