Des accords
Loin de cette musique laissée aux ingénieurs de son, aux pousseurs de disques, de ce faux R’n’B qui n’est que de la variétoche dégoulinante d’accords mièvres et qui n’a rien à voir avec les stars de Stax et d’Atlantic (je ne parle pas volontairement de Motown qui n’a jamais produit que des versions « raffinés » de la musique soul).
Loin de tous ces papys du rock, de ces idoles qui ne veulent pas mourir, des ces icônes qui ne veulent pas pâlir et qui nous refont le coup de la tournée d’adieu. Triste version « 20 ans après » des mousquetaires de la Stratocaster qu’ils ne sont plus.
Loin , bien loin des groupes de rollers (j’ai du mal a appeler ça des rockers) qui ne dénoncent le quotidien que pour mieux s’y conformer. Loin, encore plus loin des rappeurs en frocs destructurés qui alternent un disque et une ligne de vêtements (j’ai acheté un baggy, il me va très bien…faut dire que j’ai pris une taille 32) et qui n’ont de cesse de dénoncer les problèmes de la banlieue depuis qu’ils l’ont quitté dans leur Merko (kitée elle aussi.)
Loin de tout ces clowns mercantiles et sans idées ressassant sans cesse, les mêmes arguments sans apporter autre chose qu’un constat, de tous ce groupes lessiviels qui font trois petits tours et qui sortent essorés et défraîchis dans les compils des radios.
Loin de toute cette soupe fadasse…Bien loin…je regarde surgir de ma platine, l’émotion, la vraie, celle qui ne provient que de la musique non formatée.
Loin de tous ces papys du rock, de ces idoles qui ne veulent pas mourir, des ces icônes qui ne veulent pas pâlir et qui nous refont le coup de la tournée d’adieu. Triste version « 20 ans après » des mousquetaires de la Stratocaster qu’ils ne sont plus.
Loin , bien loin des groupes de rollers (j’ai du mal a appeler ça des rockers) qui ne dénoncent le quotidien que pour mieux s’y conformer. Loin, encore plus loin des rappeurs en frocs destructurés qui alternent un disque et une ligne de vêtements (j’ai acheté un baggy, il me va très bien…faut dire que j’ai pris une taille 32) et qui n’ont de cesse de dénoncer les problèmes de la banlieue depuis qu’ils l’ont quitté dans leur Merko (kitée elle aussi.)
Loin de tout ces clowns mercantiles et sans idées ressassant sans cesse, les mêmes arguments sans apporter autre chose qu’un constat, de tous ce groupes lessiviels qui font trois petits tours et qui sortent essorés et défraîchis dans les compils des radios.
Loin de toute cette soupe fadasse…Bien loin…je regarde surgir de ma platine, l’émotion, la vraie, celle qui ne provient que de la musique non formatée.